costa rica

50 ans, nostalgie Pendant les 30 ans de ma vie sur les 50 ans de vie du Franco, j’en ai connu des frimousses, plus de mille sans doute. Combien de fois j’ai entendu le tchac-chac du machette de don José qui, plié en deux, coupait l’herbe devant nos fenêtres,...

Une nouvelle route de migration. La corruption, les guerres, la misère, Les « Africanos », comme on les surnomme ici au Costa Rica, ont dû partir, quitter la terre où ils sont nés, leurs familles, et entreprendre le grand voyage en traversant l’Atlantique...

Voilà où en en est au XXIº siècle : cuisiner sur des pierres comme du temps de la préhistoire, déféquer dehors, dormir sans abri sous la pluie, ça se passe à la frontière nord du Costa Rica. Surtout pas de tentes, surtout pas de camps au pays de l'or...

Trois migrants sont morts aux frontières. Trois en quelques jours. Deux femmes à Paso Canoas Un homme à Peñas Blancas. Lui, il avait un nom, il s’appelait Petterson Blanc. Il avait 23 ans. De quoi sont- ils morts ? De pneumonie dit la version officielle....

Belle générosité, celle des habitants des frontières de Paso Canoas et de la Cruz qui savent partager le peu qu'ils ont, sans aide de personne, ils cuisinent riz, haricots, aliments à ces "Africanos" comme ils les surnomment, à ces familles qui attendent...

Oh Costa Rica, bercail des hommes et des femmes qui s’y sentent les plus heureux du monde ! Oh Costa Rica, pays vert où les plages la nuit sont pillées par des vandales qui goberont des œufs de tortues cul sec en se beurrant la gueule dans des bars sordides...

Soy Cocori Todo es políticamente incorrecto. No hay nada en el transcurrir de los años que pueda seguir siendo políticamente correcto. El Ministerio de la Cultura viene de "censurar" la obra Cocori del autor costarricense Joaquín Gutiérez por difundir...

Arrivée au Costa Rica, les premiers chocs culturels (1982…) Boom 1 : Les fausses invitations « Venga a comer el próximo domingo, hacemos una carne asada » Le dimanche arrive, je stresse avant de parvenir à trouver l’adresse, mais je suis à l’heure, ouf...